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Spécialistes / Engagés / À l’écoute
1. Avoir un avocat spécialiste
Le cabinet est constitué d’avocats associés spécialistes (titulaires du diplôme de spécialisation reconnu par l’ordre des avocats de PARIS) et de collaborateurs expérimentés.
Nous ne défendons que les Victimes.
Maître Emmanuelle Guyon est signataire des statuts et des règles de bonnes pratiques de l’ANADAVI, Association Nationale des Avocats de Victimes de Dommages Corporels.
Chaque dossier est différent et une stratégie propre est mise en place :
Une solution amiable avec l’assureur régleur ou le fonds d’indemnisation est toujours envisagée. Dans ce cas, l’issue du litige est plus rapide.
Toutefois, si la proposition de règlement obtenue n’est pas satisfaisante, la procédure contentieuse est immédiatement introduite.
La phase contentieuse : selon la nature du dossier, l’affaire peut être présentée devant des juridictions territoriales ou d’ordres différents (répressif, civil, administratif…). Le choix de la juridiction la plus avantageuse dans l’indemnisation des victimes est toujours privilégié.
2. Avec un réseau de professionnels compétents et indépendants
Le cabinet travaille en collaboration avec des médecins indépendants, expérimentés et spécialisés dans l’évaluation du préjudice corporel.
Les médecins avec lesquels nous travaillons ne défendent que des victimes et sont indépendants des compagnies d’assurance.
Nous avons également un réseau de spécialistes sur toute la France d’architectes, d’ergothérapeutes, d’experts comptable qui peuvent vous conseiller.
3. Un avocat performant : les succès du cabinet
Aggravation 5%
Un homme victime de l’aggravation de son état de santé signe un procès-verbal de transaction pour un montant global de 4 942 €
Heureusement cette transaction ne respectant les mentions obligatoires légales a pu être annulée.
Des expertises ont pu être organisées, l’aggravation correspondait à une majoration de son handicap d’un taux de déficit fonctionnel de 5%, le Tribunal puis la Cour ont valorisé les préjudices à plus de 300 000 €
Responsabilité médicale accident médical non fautif
Victime d’un accident médical non fautif, une femme engage une procédure devant une Cci.
Elle gagnera 12 fois plus que les sommes offertes par l’Oniam qui rejetaient systématiquement les différents postes de préjudices. Si un appel est en cours, des conclusions d’expertises continuent d’évaluer parallèlement les aménagements techniques et architecturaux pour adapter son lieu de vie.
Accident de trajet
Victime d’un accident de trajet, une femme se rend seule à l’expertise et discute avec l’assureur pour obtenir son indemnisation.
Malgré sa pugnacité et une étude fouillée des indemnisations auxquelles elle peut prétendre, les négociations vont vite se heurter à des offres très insuffisante. Nous obtiendrons un an après sans refaire les expertises 3 fois plus.
Homicide
Une mère perd ses deux jeunes enfants tués dans un accident de la route.
Le juge civil octroie 2,5 x plus que ce qu’offre la compagnie dans le cadre de la procédure.
Explosion volontaire d’un immeuble
Jeune femme victime d’une explosion criminelle d’un immeuble dans lequel elle vivait.
La Civi lui octroie plus du double des offres faites par le fonds d’indemnisation dans le cadre de la procédure.